Comment fonctionne le Plan d'épargne retraite ?

© Dean Drobot / 123rf.com
C'est le petit nouveau qui a vu le jour avec la loi Pacte. Le PER est un produit d'épargne retraite compartimenté, avec trois tiroirs : individuel, collectif et obligatoire. Le premier vise à remplacer le Perp et le Madelin, les suivants le Perco et le contrat article 83. Il peut prendre la forme d'un compte titre ou d'un contrat d'assurance (avec des fonds euros garanti et des supports complémentaires).
Sauf décision contraire de votre part, c'est le principe de gestion pilotée qui prévaut. Lorsque l'âge de la retraite est loin, "l'épargne sera orientée vers des actifs à meilleure espérance de rendement, comme des actions d'entreprise", donc plus risqués, expliquait Bercy. A mesure que l'âge de la retraite approche, l'épargne est, à l'inverse, orientée vers des supports moins risqués.
Les versements volontaires peuvent être déduits de l'assiette de l'impôt sur le revenu, dans limite d'un plafond fixé à 10% des revenus professionnels de 2019 (nets de cotisations) avec une déduction maximale de 32 419 euros ou 4 052 euros. La fiscalité à la sortie, elle, dépend de la fiscalité choisie à l'entrée (déductibilité ou non) et de la sortie désirée (en rente ou en capital).
C'est le petit nouveau qui a vu le jour avec la loi Pacte. Le PER est un produit d'épargne retraite compartimenté, avec trois tiroirs : individuel, collectif et obligatoire. Le premier vise à remplacer le Perp et le Madelin, les suivants le Perco et le contrat article 83. Il peut prendre la forme d'un compte titre ou d'un contrat d'assurance (avec des fonds euros garanti et des supports complémentaires). Sauf décision contraire de votre part, c'est le principe de gestion pilotée qui prévaut. Lorsque l'âge de la retraite est loin, "l'épargne sera orientée vers des actifs à meilleure espérance de rendement, comme des actions d'entreprise", donc plus risqués, expliquait Bercy. A mesure que l'âge de la retraite approche, l'épargne est, à l'inverse, orientée vers des supports moins risqués. Les versements volontaires peuvent être déduits de l'assiette de l'impôt sur le revenu, dans limite d'un plafond fixé à 10% des revenus professionnels de 2019 (nets de cotisations) avec une déduction maximale de 32 419 euros ou 4 052 euros. La fiscalité à la sortie, elle, dépend de la fiscalité choisie à l'entrée (déductibilité ou non) et de la sortie désirée (en rente ou en capital).
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