Devrez-vous encore payer la taxe d'habitation cette année ?

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Devrez-vous encore payer la taxe d'habitation cette année ?
© David Niviere/SIPA
C'était une promesse d'Emmanuel Macron à la présidentielle en 2017 : supprimer la taxe d'habitation. Pour rappel, cet impôt local est dû par les occupants d'un logement, qu'ils soient propriétaires, locataires ou occupant à titre gratuit. Son montant dépend des caractéristiques du logement, de vos ressources et la composition de votre foyer. Née en 1974, la taxe d'habitation était jugée "injuste" par le candidat En marche. "On paye beaucoup moins à Paris que dans le reste de la France, on paye souvent beaucoup plus quand on vit dans une commune pauvre que dans une commune riche", expliquait-il au micro de BFMTV.

Dès 2018, la disparition progressive – de l'impôt portant sur les résidences principales exclusivement - a été engagée. Cette année-là, un premier dégrèvement de 30% a été appliqué aux foyers les plus modestes, dont le revenu fiscal de référence ne dépasse pas un plafond, fixé en fonction du quotient familial – autrement dit, la composition du foyer. Il a été suivi d'un deuxième, à hauteur de 65% et enfin d'un dégrèvement total pour ces ménages en 2020.
C'était une promesse d'Emmanuel Macron à la présidentielle en 2017 : supprimer la taxe d'habitation. Pour rappel, cet impôt local est dû par les occupants d'un logement, qu'ils soient propriétaires, locataires ou occupant à titre gratuit. Son montant dépend des caractéristiques du logement, de vos ressources et la composition de votre foyer. Née en 1974, la taxe d'habitation était jugée "injuste" par le candidat En marche. "On paye beaucoup moins à Paris que dans le reste de la France, on paye souvent beaucoup plus quand on vit dans une commune pauvre que dans une commune riche", expliquait-il au micro de BFMTV. Dès 2018, la disparition progressive – de l'impôt portant sur les résidences principales exclusivement - a été engagée. Cette année-là, un premier dégrèvement de 30% a été appliqué aux foyers les plus modestes, dont le revenu fiscal de référence ne dépasse pas un plafond, fixé en fonction du quotient familial – autrement dit, la composition du foyer. Il a été suivi d'un deuxième, à hauteur de 65% et enfin d'un dégrèvement total pour ces ménages en 2020.
© David Niviere/SIPA