Les métiers régaliens conservent des spécificités

© ROMUALD MEIGNEUX/SIPA
Pompiers, militaires, surveillants pénitentiaires... Les métiers régaliens vont conserver, au titre de la dangerosité de leurs métiers, des spécificités. Sur l'âge d'ouverture des droits, la réforme des retraites prévoit ainsi des dérogations pour qu'il soit effectif avant l'âge légal fixé à 62 ans. "Policiers, personnels de l'administration pénitentiaire et ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne" pourront partir dès 52 ans, comme aujourd'hui. Même son de cloche pour les sapeurs-pompiers professionnels, "la branche surveillance des douanes et les policiers municipaux" : l'ouverture des droits sera effective à 57 ans. Si le gouvernement ne le précise pas sur son site, tout porte à croire que cet âge ne sera véritablement effectif qu'à partir d'une certaine ancienneté (27 ans aujourd'hui).  "Pour les militaires du rang et les sous-officiers, le droit à un départ à la retraite continuera d'être ouvert à compter de 17 années de services", complète-t-on. "Pour les officiers, le droit à une retraite immédiate sera maintenu à 27 ans de services sous la condition d'avoir atteint l'âge de 52 ans". Une sur-cotisation patronale sera également prévue pour ces fonctionnaires et militaires pour compenser la disparition de la bonification du 5e, qui permet d'acquérir une année supplémentaire de service tous les 5 ans travaillés. 
Pompiers, militaires, surveillants pénitentiaires... Les métiers régaliens vont conserver, au titre de la dangerosité de leurs métiers, des spécificités. Sur l'âge d'ouverture des droits, la réforme des retraites prévoit ainsi des dérogations pour qu'il soit effectif avant l'âge légal fixé à 62 ans. "Policiers, personnels de l'administration pénitentiaire et ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne" pourront partir dès 52 ans, comme aujourd'hui. Même son de cloche pour les sapeurs-pompiers professionnels, "la branche surveillance des douanes et les policiers municipaux" : l'ouverture des droits sera effective à 57 ans. Si le gouvernement ne le précise pas sur son site, tout porte à croire que cet âge ne sera véritablement effectif qu'à partir d'une certaine ancienneté (27 ans aujourd'hui).  "Pour les militaires du rang et les sous-officiers, le droit à un départ à la retraite continuera d'être ouvert à compter de 17 années de services", complète-t-on. "Pour les officiers, le droit à une retraite immédiate sera maintenu à 27 ans de services sous la condition d'avoir atteint l'âge de 52 ans". Une sur-cotisation patronale sera également prévue pour ces fonctionnaires et militaires pour compenser la disparition de la bonification du 5e, qui permet d'acquérir une année supplémentaire de service tous les 5 ans travaillés. 
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