D'autres défaillances reviennent souvent

En ville ou à la campagne, les motifs de rejet au contrôle ne sont pas les mêmes. © CHAMUSSY/SIPA
Viennent ensuite l'efficacité du frein à main (10 %), l'état et le fonctionnement des feux stop (8 %), les fuites (4 %), les rotules de suspension, les garnitures ou les plaquettes de freins (3 %), et enfin les pare-chocs (3 %). On retrouve aussi les témoins d'airbags et d'ABS, la carrosserie, les phares déréglés, ou encore un problème de lave-glace. Les motifs de rejet au contrôle varient selon le territoire. En ville, les plus courants sont les "défauts de carrosserie", la faute aux chocs bien plus fréquents. Les ralentisseurs, plus nombreux, abîment rapidement les rotules de suspension. Enfin, les vitres surteintées sont également un motif de rejet. Hors des villes, Autoplus note que des amortisseurs trop usés, des plaquettes "élimées", du "liquide de frein usagé" et des soucis de corrosion causent le plus des contre-visites ou des rejets.
Viennent ensuite l'efficacité du frein à main (10 %), l'état et le fonctionnement des feux stop (8 %), les fuites (4 %), les rotules de suspension, les garnitures ou les plaquettes de freins (3 %), et enfin les pare-chocs (3 %). On retrouve aussi les témoins d'airbags et d'ABS, la carrosserie, les phares déréglés, ou encore un problème de lave-glace. Les motifs de rejet au contrôle varient selon le territoire. En ville, les plus courants sont les "défauts de carrosserie", la faute aux chocs bien plus fréquents. Les ralentisseurs, plus nombreux, abîment rapidement les rotules de suspension. Enfin, les vitres surteintées sont également un motif de rejet. Hors des villes, Autoplus note que des amortisseurs trop usés, des plaquettes "élimées", du "liquide de frein usagé" et des soucis de corrosion causent le plus des contre-visites ou des rejets.
© CHAMUSSY/SIPA