L'affaire de suicides avait déjà remis en cause sa gestion

L'affaire des suicides au Technocentre en 2013 avait mis en lumière les pressions chez Renault. © CHAMUSSY/SIPA
L'affaire des suicides au Technocentre de Renault en 2013 avait déjà écorné l'image de Carlos Ghosn, mettant en lumière la pression imposée aux employés de la marque au losange. Dans une lettre laissée à ses proches, un technicien de maintenance d'une usine de Rouen qui s'est suicidé à l'été 2013 lâchait : "Merci Renault. Merci ces années de pression, chantage au nuit. Où le droit de grève n'existe pas. Ne pas protester sinon gare. La peur, l'incertitude de l'avenir sont de bonne guerre, parait-il ? Tu expliqueras ça à mes filles, Carlos".
L'affaire des suicides au Technocentre de Renault en 2013 avait déjà écorné l'image de Carlos Ghosn, mettant en lumière la pression imposée aux employés de la marque au losange. Dans une lettre laissée à ses proches, un technicien de maintenance d'une usine de Rouen qui s'est suicidé à l'été 2013 lâchait : "Merci Renault. Merci ces années de pression, chantage au nuit. Où le droit de grève n'existe pas. Ne pas protester sinon gare. La peur, l'incertitude de l'avenir sont de bonne guerre, parait-il ? Tu expliqueras ça à mes filles, Carlos".
© CHAMUSSY/SIPA