Des revenus qui agaçaient la France

Son salaire chez Renault était l'objet de crispations depuis de nombreuses années. © MEIGNEUX/SIPA
Actionnaire de Renault à hauteur de 15% du capital de la marque automobile, l'Etat avait à plusieurs reprises alerté sur le montant des rémunérations de Carlos Ghosn. Il avait même voté contre le vote de la rémunération en 2016, un vote alors seulement consultatif. En 2017, en assemblée générale, l'Etat votera à nouveau contre, mais Carlos Ghosn obtiendra tout de même la majorité avec 56,5% des votes en assemblée générale. L'obtention d'un nouveau mandat à la tête du groupe, sur la période 2018-2022, avait toutefois été obtenue via l'acceptation d'une baisse de ses revenus de près de 30%.
Actionnaire de Renault à hauteur de 15% du capital de la marque automobile, l'Etat avait à plusieurs reprises alerté sur le montant des rémunérations de Carlos Ghosn. Il avait même voté contre le vote de la rémunération en 2016, un vote alors seulement consultatif. En 2017, en assemblée générale, l'Etat votera à nouveau contre, mais Carlos Ghosn obtiendra tout de même la majorité avec 56,5% des votes en assemblée générale. L'obtention d'un nouveau mandat à la tête du groupe, sur la période 2018-2022, avait toutefois été obtenue via l'acceptation d'une baisse de ses revenus de près de 30%.
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