Léon, à l'envers, c'est... Noël

D'aucuns disent que "Léon" a sans doute le cerveau mal irrigué. Ce serait en tout cas une explication "scientifique" au besoin permanent du pilote de voler à l'envers. Seul Léon sait si son nombre d'heures de vol sur le dos excède ou non son nombre d'heures de "vol normal".
© Pascal Le Fichant