Conrad McLeod

La vie de château au 16e siècle © Laurent Gerard

Le guerrier

Ah ça, la bagarre, vous aimez bien. Mais dans les règles de l'art, s'il vous plaît. L'idée d'être immortel et de gagner un "Prix" (même s'il s'agit là d'une notion bien vague) vous intéresse grandement. Vous vous sentez à l'aise aussi bien à la campagne (les Highlands d'Ecosse) qu'en ville (New York) et aimez les looks assez marqués... Vous êtes un Conrad McLeod qui s'ignore, à ne pas en douter.

 La tenue : mettons de côté la panoplie du kilt écossais, peut-être un peu trop chargée, du Conrad des débuts. En fait, aujourd'hui, il s'habille comme vous et moi. Il n'y a donc pas de consigne particulière à aborder ici, sauf peut-être au niveau de votre coiffure : laissez-vous aller à du grand n'importe quoi et ce sera parfait.

 L'attitude : Non, Conrad McLeod ne passe pas sa vie à se battre, il se défend tout simplement. Il aime bien crier pendant ses duels et il est un peu déprimé, car il pense souvent à sa femme du 16e siècle, qui n'était pas immortelle, elle. Soyez donc nostalgique.

Le guerrier Ah ça, la bagarre, vous aimez bien. Mais dans les règles de l'art, s'il vous plaît. L'idée d'être immortel et de gagner un "Prix" (même s'il s'agit là d'une notion bien vague) vous intéresse grandement. Vous vous sentez à l'aise aussi bien à la campagne (les Highlands d'Ecosse) qu'en ville (New York) et aimez les looks assez marqués... Vous êtes un Conrad McLeod qui s'ignore, à ne pas en douter.  La tenue : mettons de côté la panoplie du kilt écossais, peut-être un peu trop chargée, du Conrad des débuts. En fait, aujourd'hui, il s'habille comme vous et moi. Il n'y a donc pas de consigne particulière à aborder ici, sauf peut-être au niveau de votre coiffure : laissez-vous aller à du grand n'importe quoi et ce sera parfait.  L'attitude : Non, Conrad McLeod ne passe pas sa vie à se battre, il se défend tout simplement. Il aime bien crier pendant ses duels et il est un peu déprimé, car il pense souvent à sa femme du 16e siècle, qui n'était pas immortelle, elle. Soyez donc nostalgique.
© Laurent Gerard