Le tueur se trahit

"En fait c'était évident !" © Scènes de crime - Rezo Films

Il y a deux écoles en ce qui concerne l'identité du meurtrier.

La première privilégie le tueur à la personnalité banale, qu'il était donc difficile de soupçonner. Il s'agit du réceptionniste de l'hôtel, du camarade timide et sympa, de la femme de ménage discrète... Sa capture révèlera un passé douloureux, un père violent et de profonds traumatismes.

Autre perspective : le criminel est un fou furieux mégalomaniaque aussi dérangé qu'égocentrique. Sa vanité le pousse à donner des indices à l'enquêteur et à valoriser ses exploits dans la presse, quitte à jouer avec le feu.

 On le retrouve dans : Tous les polars en fonction des envies de l'auteur

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