"Je l'aimais" d'Anna Gavalda

Une histoire d'amour douloureuse, racontée avec  beaucoup de justesse et de style.

 L'histoire :

Parce que sa belle-fille est malheureuse, Pierre Dippel, 65 ans, décide de l'emmener à la campagne. Parce qu'elle ne se nourrit plus, il décide de faire la cuisine. Parce qu'elle n'arrête pas de pleurer, il va chercher du bon vin à la cave. Et malgré tout ça, malgré le bordeaux et le bœuf carottes, elle continue de gémir, il décide d'aller se coucher. Et puis finalement, non. Il revient. Il s'asseoit à côté d'elle et se met à parler. Pour la première fois, il parle. De lui. De sa vie. Ou plutôt de ce qu'il n'a pas vécu. Cette histoire est donc la confession d'un homme dans une cuisine. ça n'a l'air de rien et pourtant, comme toujours avec Gavalda, tout est dit. Tout est là. Nos doutes, notre ironie et notre tendresse, le tapage de nos souvenirs et " la vie comme elle va "...

 Les raisons :

Parce qu'on s'identifie rapidement "au personnage, ses questionnemens et ses impasses", comme le remarque si bien notre lectrice Maryse.

 L'histoire : Parce que sa belle-fille est malheureuse, Pierre Dippel, 65 ans, décide de l'emmener à la campagne. Parce qu'elle ne se nourrit plus, il décide de faire la cuisine. Parce qu'elle n'arrête pas de pleurer, il va chercher du bon vin à la cave. Et malgré tout ça, malgré le bordeaux et le bœuf carottes, elle continue de gémir, il décide d'aller se coucher. Et puis finalement, non. Il revient. Il s'asseoit à côté d'elle et se met à parler. Pour la première fois, il parle. De lui. De sa vie. Ou plutôt de ce qu'il n'a pas vécu. Cette histoire est donc la confession d'un homme dans une cuisine. ça n'a l'air de rien et pourtant, comme toujours avec Gavalda, tout est dit. Tout est là. Nos doutes, notre ironie et notre tendresse, le tapage de nos souvenirs et " la vie comme elle va "...  Les raisons : Parce qu'on s'identifie rapidement "au personnage, ses questionnemens et ses impasses", comme le remarque si bien notre lectrice Maryse.
© Le dilettante