Aya Nakamura ou Céline Dion ? Pour l'ouverture des JO, Macron a fait son choix

Aya Nakamura ou Céline Dion ? Pour l'ouverture des JO, Macron a fait son choix Dans un article paru ce mercredi, Le Canard Enchaîné révèle que deux artistes auraient été validés pour la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques.

Le président de la République a-t-il du pouvoir sur tout, jusqu'au choix des artistes qui se produiront en ouverture des Jeux Olympiques de Paris, le 26 juillet prochain ? Après avoir donné sa bénédiction à Aya Nakamura et lui avoir demandé d'interpréter du Edith Piaf lors de la cérémonie comme le révélait L'Express en mars dernier, il semblerait qu'un autre nom ait les faveurs des plus hautes sphères de l'État. 

A en croire les informations du Canard Enchaîné, révélées dans le numéro de ce mercredi, Céline Dion serait elle aussi sur la liste finale des artistes pressentis pour se produire sur la Seine le mois prochain. Le palmipède affirme qu'une enveloppe de 2,7 millions d'euros aurait été prévue pour payer les cachets de "deux top artistes", comme il est inscrit dans un "rappel des hypothèses centrales" interne au Comité d'organisation des Jeux Olympiques dit Cojo, daté du 26 avril et révélé par le journal satirique. Une rallonge serait en négociation entre l'État et le Cojo pour couvrir cette dépense.

Outre le nom d'Aya Nakamura, qui circulait déjà et aurait selon Emmanuel Macron "tout à fait sa place dans une cérémonie d'ouverture ou de clôture des Jeux", la rumeur évoque donc maintenant la diva canadienne Céline Dion, en convalescence et loin des lumières de la scène depuis plus de deux ans et la révélation de sa maladie neurologique rare, le syndrome de la personne raide - ou Stiff-Person syndrome en anglais. Fera-t-elle son grand retour à l'occasion des Jeux Olympiques de Paris ? Le doute est plus que permis. 

Seuls Emmanuel Macron et Thomas Jolly, chef d'orchestre des festivités d'ouverture des Jeux Olympiques, connaissent l'identité de ces deux artistes. Deux sources proches du dossier interrogées par l'AFP nient toutefois le fait que le chef de l'Etat ait la main sur un tel choix, affirmant que "c'est le Cojo qui choisit les artistes."