Un "hippie" oui, mais sans drogue

Francis Lalanne lors d'un concert à Chalon-sur-Saône en 1987 © SUU/SIPA
Une vie de star "sexe, drogue et rock'n' roll" ? Très peu pour Francis Lalanne (ou presque). Si le chanteur se définit dans les colonnes de Gala comme étant un "hippie", il s'est également confié sur son rapport (distant) avec les drogues et autres substances. "En tant que hippie, j'ai suivi le cursus classique, y compris dans le caractère illicite de certaines substances que j'ai pu absorber. S'il n'y avait pas eu la chanson, j'aurais sans doute pu sombrer dans la drogue. Car les paradis artificiels c'est ce que l'on recherche quand on a l'impression de vivre en enfer. Mais à partir du moment où on vit de sa passion, on ne ressent pas la corrosion du réel. La musique a remplacé toutes ces substances. C'est celle qui me fait planer le plus loin possible", expliquait le chanteur au magazine dans un entretien sans filtres en 2015.
Une vie de star "sexe, drogue et rock'n' roll" ? Très peu pour Francis Lalanne (ou presque). Si le chanteur se définit dans les colonnes de Gala comme étant un "hippie", il s'est également confié sur son rapport (distant) avec les drogues et autres substances. "En tant que hippie, j'ai suivi le cursus classique, y compris dans le caractère illicite de certaines substances que j'ai pu absorber. S'il n'y avait pas eu la chanson, j'aurais sans doute pu sombrer dans la drogue. Car les paradis artificiels c'est ce que l'on recherche quand on a l'impression de vivre en enfer. Mais à partir du moment où on vit de sa passion, on ne ressent pas la corrosion du réel. La musique a remplacé toutes ces substances. C'est celle qui me fait planer le plus loin possible", expliquait le chanteur au magazine dans un entretien sans filtres en 2015.
© SUU/SIPA