Une thérapie avec les prostituées de Paris

L'Arc de Triomphe à Paris © MALANCA/SIPA (publiée le 15/04/2022)
Désormais émancipé de ses parents, le jeune Michel Polnareff est bien décidé à goûter à tous les plaisirs de la vie. Comme il le raconte dans son autobiographie, Spèrme, il est allé jusqu'à fréquenter les prostituées de la capitale. "Alors, pour vraiment devenir un mec, je m'étais résolu à aller 'aux putes'. Celle qui m'avait fait grandir (dans tous les sens du terme) était une Algérienne aux dents en or qui m'appelait 'mon biquet'", expliquait-il au Parisien.
Et de détailler : "C'est autour de l'Arc de triomphe qu'elles officiaient quand je vivais encore à Paris. Rue de Tilsitt. La nuit, il m'arrivait d'en embarquer une en voiture juste pour qu'elle se réchauffe. Malgré leurs cuissardes, je voyais leurs jambes rougies par le froid. Je n'ai jamais supporté de voir les gens grelotter dans le froid. J'ai toujours eu beaucoup de respect pour les prostituées. Je les trouve très courageuses et très utiles à une société malade de solitude."
Désormais émancipé de ses parents, le jeune Michel Polnareff est bien décidé à goûter à tous les plaisirs de la vie. Comme il le raconte dans son autobiographie, Spèrme, il est allé jusqu'à fréquenter les prostituées de la capitale. "Alors, pour vraiment devenir un mec, je m'étais résolu à aller 'aux putes'. Celle qui m'avait fait grandir (dans tous les sens du terme) était une Algérienne aux dents en or qui m'appelait 'mon biquet'", expliquait-il au Parisien. Et de détailler : "C'est autour de l'Arc de triomphe qu'elles officiaient quand je vivais encore à Paris. Rue de Tilsitt. La nuit, il m'arrivait d'en embarquer une en voiture juste pour qu'elle se réchauffe. Malgré leurs cuissardes, je voyais leurs jambes rougies par le froid. Je n'ai jamais supporté de voir les gens grelotter dans le froid. J'ai toujours eu beaucoup de respect pour les prostituées. Je les trouve très courageuses et très utiles à une société malade de solitude."
© MALANCA/SIPA (publiée le 15/04/2022)