Reflets dans le Cher

De passage à Chenonceaux, Flaubert écrit : "Je ne sais quoi d'une suavité singulière et d'une aristocratique sérénité transpire du château de Chenonceau. (...) Le Cher passe dessous, et murmure au bas de ses arches dont les arêtes pointues brisent le courant. C'est paisible et doux, élégant et robuste." 
© L'Internaute Magazine / Mathias Naudin