Jack Warner : soupçonné en 2014, emprisonné en 2015

Jack Warner © David Ramos - AP SIPA
En juin 2014, le quotidien anglais Sunday Times dévoile ce que l'on va vite appeler le "Qatargate". Le Qatarien Mohamed Bin Hammam (banni de la FIFA, il est devenu hommes d'affaires) aurait versé plus de 5 millions de dollars pour bénéficier du soutien de plusieurs membres de la FIFA en vue de la désignation du pays organisateur pour la Coupe du monde 2022.

Et l'un des bénéficiaires de ces pots-de-vin ne serait autre que Jack Warner, vice-président de la FIFA et président de la Concacaf depuis plus de 30 ans. Warner fait partie des personnes inculpées en mai 2015 à Zurich.
En juin 2014, le quotidien anglais Sunday Times dévoile ce que l'on va vite appeler le "Qatargate". Le Qatarien Mohamed Bin Hammam (banni de la FIFA, il est devenu hommes d'affaires) aurait versé plus de 5 millions de dollars pour bénéficier du soutien de plusieurs membres de la FIFA en vue de la désignation du pays organisateur pour la Coupe du monde 2022. Et l'un des bénéficiaires de ces pots-de-vin ne serait autre que Jack Warner, vice-président de la FIFA et président de la Concacaf depuis plus de 30 ans. Warner fait partie des personnes inculpées en mai 2015 à Zurich.
© David Ramos - AP SIPA