Golf : "Réussir un albatros"

Réussir un albatros. © Didier Fourneau

Au golf, selon la difficulté du trou, un nombre de coups à jouer est fixé à l'avance. C'est ce qu'on appelle "le par". Dans un trou de par 3 par exemple, il faut idéalement terminer le parcours en seulement 3 coups.

Au début du 20e siècle, on commence à parler de "birdie" quand un golfeur réussit à finir le trou un coup sous le par (exemple : 2 coups dans un par 3). Le mot est dérivé de "bird", qui signifie "oiseau" (mais aussi "cool" dans le langage familier américain).

Les golfeurs ont poursuivi le parallèle animalier en parlant ensuite de "eagle" (aigle en français) et "d'albatros". Ces termes sont employés quand un golfeur réussit à terminer le parcours 2 coups ou 3 coups sous le par.

L'albatros a pris son envol lors du Masters de 1935 quand Gene Sarazen l'a réussi pour la première fois. Entre 1970 et 2003, 84 coups similaires ont été enregistrés sur le PGA Tour.

Au golf, selon la difficulté du trou, un nombre de coups à jouer est fixé à l'avance. C'est ce qu'on appelle "le par". Dans un trou de par 3 par exemple, il faut idéalement terminer le parcours en seulement 3 coups. Au début du 20e siècle, on commence à parler de "birdie" quand un golfeur réussit à finir le trou un coup sous le par (exemple : 2 coups dans un par 3). Le mot est dérivé de "bird", qui signifie "oiseau" (mais aussi "cool" dans le langage familier américain). Les golfeurs ont poursuivi le parallèle animalier en parlant ensuite de "eagle" (aigle en français) et "d'albatros". Ces termes sont employés quand un golfeur réussit à terminer le parcours 2 coups ou 3 coups sous le par. L'albatros a pris son envol lors du Masters de 1935 quand Gene Sarazen l'a réussi pour la première fois. Entre 1970 et 2003, 84 coups similaires ont été enregistrés sur le PGA Tour.
© Didier Fourneau