Les officiels brésiliens quittent le stade après la défaite des leurs

C'est dans un stade Maracana plein à craquer que le Brésil perd la Coupe du monde 1950 contre l'Uruguay. © Jacques Veylet - Galerie photo

En 1950, le Brésil accueille la première Coupe du monde de foot d'après-guerre. Tout un pays attend la victoire de ses champions. Disputé comme un championnat, le dernier match voit s'affronter le Brésil et l'Uruguay. Le pays hôte n'a besoin que d'un match nul pour remporter le titre. Une simple formalité pense-t-on.

Malheureusement, alors que tout Rio est déjà en train de fêter la victoire, le Brésil s'incline 2 à 1.  

Les officiels brésiliens chargés de remettre le trophée s'éclipsent alors sans explications et le capitaine de l'Uruguay se retrouve tout seul avec son équipe au moment de soulever la coupe. Pendant quelques minutes, personne ne sait quoi faire.

C'est Jules Rimet, le créateur de la Coupe du monde, présent dans les tribunes qui finalement se dévoue pour remettre le trophée au vainqueur. Dans le stade, il n'y a qu'indifférence, tous les Brésiliens sont au même moment en train de quitter l'enceinte.

 

En 1950, le Brésil accueille la première Coupe du monde de foot d'après-guerre. Tout un pays attend la victoire de ses champions. Disputé comme un championnat, le dernier match voit s'affronter le Brésil et l'Uruguay. Le pays hôte n'a besoin que d'un match nul pour remporter le titre. Une simple formalité pense-t-on. Malheureusement, alors que tout Rio est déjà en train de fêter la victoire, le Brésil s'incline 2 à 1.   Les officiels brésiliens chargés de remettre le trophée s'éclipsent alors sans explications et le capitaine de l'Uruguay se retrouve tout seul avec son équipe au moment de soulever la coupe. Pendant quelques minutes, personne ne sait quoi faire. C'est Jules Rimet, le créateur de la Coupe du monde, présent dans les tribunes qui finalement se dévoue pour remettre le trophée au vainqueur. Dans le stade, il n'y a qu'indifférence, tous les Brésiliens sont au même moment en train de quitter l'enceinte.  
© Jacques Veylet - Galerie photo