Quand les Bleus doivent jouer en vert

Les maillots bleus oubliés, les Français ont dû s'en faire prêter d'autres. © Lilufoto - Fotolia

Lors du dernier match de poule de la Coupe du
monde 1978 en Argentine,
la France doit affronter la Hongrie à Mar del Plata. A une demi-heure du coup d'envoi, les deux équipes se rendent compte qu'elles ont chacune un maillot blanc. L'intendant français a mal lu une circulaire des organisateurs obligeant la France à jouer en Bleu. Chose incroyable, ce même intendant n'a pris qu'un jeu de maillots.

A quelques minutes du coup d'envoi, les Français se retrouvent donc sans tenues et proches du forfait. Une voiture de police, sirène hurlante, quitte alors le stade en quête d'un nouveau jeu de maillots. La voiture se dirige vers les locaux d'un club amateur de la ville : le Kimberley FC qui joue avec des maillots verts et blancs à rayures verticales. C'est ainsi que les Bleus se retrouvent à jouer dans ces couleurs si particulières.

L'intendant, Henri Patrelle, assume ensuite son erreur : "Je suis le seul responsable. La Fédération sera sûrement sanctionnée par ma faute, mais on ne pourra pas prendre le montant de l'amende sur mon salaire, je ne suis qu'un bénévole".

Lors du dernier match de poule de la Coupe du monde 1978 en Argentine, la France doit affronter la Hongrie à Mar del Plata. A une demi-heure du coup d'envoi, les deux équipes se rendent compte qu'elles ont chacune un maillot blanc. L'intendant français a mal lu une circulaire des organisateurs obligeant la France à jouer en Bleu. Chose incroyable, ce même intendant n'a pris qu'un jeu de maillots. A quelques minutes du coup d'envoi, les Français se retrouvent donc sans tenues et proches du forfait. Une voiture de police, sirène hurlante, quitte alors le stade en quête d'un nouveau jeu de maillots. La voiture se dirige vers les locaux d'un club amateur de la ville : le Kimberley FC qui joue avec des maillots verts et blancs à rayures verticales. C'est ainsi que les Bleus se retrouvent à jouer dans ces couleurs si particulières. L'intendant, Henri Patrelle, assume ensuite son erreur : "Je suis le seul responsable. La Fédération sera sûrement sanctionnée par ma faute, mais on ne pourra pas prendre le montant de l'amende sur mon salaire, je ne suis qu'un bénévole".
© Lilufoto - Fotolia