Le boosting : quant les athlètes handisport se mutilent pour performer

Le boosting reste une patique peu répandue. © East image - 123RF
Le dopage existe également dans le sport paralympique et parfois sous des des formes que l'on aurait pas imaginées. La pratique du boosting, certes peu répandue, consiste ainsi, pour des sportifs atteint de lésions à la moelle épinière, à s'auto-mutiler (s'infliger des chocs électriques, se tordre les testicules, provoquer une fracture d'un doigt...) pour susciter une douleur, qu'ils ne ressentent pas compte tenu de leur handicap, et ainsi créer une décharge d'adrénaline et augmenter la fréquence cardiaque.

Une pratique illégale et surtout dangereuse pour la santé des athlètes, selon le Dr Frédéric Rusakiewicz, interrogé par Le Monde en septembre dernier : " Cette situation est critique pour la personne puisqu'elle entraîne un emballement de son système cardiovasculaire avec des pressions artérielles incontrôlées".
Le dopage existe également dans le sport paralympique et parfois sous des des formes que l'on aurait pas imaginées. La pratique du boosting, certes peu répandue, consiste ainsi, pour des sportifs atteint de lésions à la moelle épinière, à s'auto-mutiler (s'infliger des chocs électriques, se tordre les testicules, provoquer une fracture d'un doigt...) pour susciter une douleur, qu'ils ne ressentent pas compte tenu de leur handicap, et ainsi créer une décharge d'adrénaline et augmenter la fréquence cardiaque. Une pratique illégale et surtout dangereuse pour la santé des athlètes, selon le Dr Frédéric Rusakiewicz, interrogé par Le Monde en septembre dernier : " Cette situation est critique pour la personne puisqu'elle entraîne un emballement de son système cardiovasculaire avec des pressions artérielles incontrôlées".
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