Le "brain doping", pour stimuler le cerveau

David Brailsford, le patron de Christopher Froome (Team Sky), semble séduit par les éventuels apports du "brain doping". © Shutterstock - SIPA
L'électrostimulation du cerveau consiste à placer des électrodes chargées d'un faible courant électriques sur le crâne. Cette technique, encore en phase d'expérimentation chez les sportifs, permettrait à l'athlète d'augmenter sa capacité à de dépasser.

Nouvelle arme fatale pour la performance ou dopage ?  La question n'est pas encore tranchée mais cette technologie, développée dans la Silicon Valley (Californie), séduit déjà. En 2015,  David Brailsford, le patron de Christopher Froome (Team Sky), trois fois vainqueur du Tour de France, avait ainsi été l'un des premiers à faire part de son intérêt pour ce que l'on appelle le "brain doping" . En janvier dernier, le sprinteur américain Rubin Williams s'était lui prêté à une démonstration de l'utilisation du casque de simulation devant les caméras de Stade 2. Le début d'une nouvelle ère ?
L'électrostimulation du cerveau consiste à placer des électrodes chargées d'un faible courant électriques sur le crâne. Cette technique, encore en phase d'expérimentation chez les sportifs, permettrait à l'athlète d'augmenter sa capacité à de dépasser. Nouvelle arme fatale pour la performance ou dopage ?  La question n'est pas encore tranchée mais cette technologie, développée dans la Silicon Valley (Californie), séduit déjà. En 2015,  David Brailsford, le patron de Christopher Froome (Team Sky), trois fois vainqueur du Tour de France, avait ainsi été l'un des premiers à faire part de son intérêt pour ce que l'on appelle le "brain doping" . En janvier dernier, le sprinteur américain Rubin Williams s'était lui prêté à une démonstration de l'utilisation du casque de simulation devant les caméras de Stade 2. Le début d'une nouvelle ère ?
© Shutterstock - SIPA