Brigitte Bardot s'attaque à Secret Story

Brigitte Bardot © GINIES/SIPA
Début septembre, les téléspectateurs présents devant Secret Story ont assisté à une séquence durant laquelle les candidats de l'émission de télé-réalité faisaient face à des animaux... dans une pièce plongée dans l'obscurité. Pour Brigitte Bardot, il s'agissait ni plus ni moins que de la maltraitance animale et a décidé de relayer (par le biais de sa fondation) le communiqué d'une association de défense contre les animaux : "La société de production Endemol France, qui produit cette émission diffusée sur la chaîne NT1, propriété du groupe TF1, a ainsi dépassé les limites de l'acceptable". De son côté, Endemol a tenu à répondre à ces accusations : "Nous regrettons les réactions que cela a pu provoquer mais la séquence de la chèvre dans la pièce noire, qui n'a duré que quelques minutes, a été réalisée en présence d'un vétérinaire départemental et du propriétaire de l'animal ainsi que de membres de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) et ce, en respect de toutes les normes en vigueur et autorisations nécessaires."
 
Début septembre, les téléspectateurs présents devant Secret Story ont assisté à une séquence durant laquelle les candidats de l'émission de télé-réalité faisaient face à des animaux... dans une pièce plongée dans l'obscurité. Pour Brigitte Bardot, il s'agissait ni plus ni moins que de la maltraitance animale et a décidé de relayer (par le biais de sa fondation) le communiqué d'une association de défense contre les animaux : "La société de production Endemol France, qui produit cette émission diffusée sur la chaîne NT1, propriété du groupe TF1, a ainsi dépassé les limites de l'acceptable". De son côté, Endemol a tenu à répondre à ces accusations : "Nous regrettons les réactions que cela a pu provoquer mais la séquence de la chèvre dans la pièce noire, qui n'a duré que quelques minutes, a été réalisée en présence d'un vétérinaire départemental et du propriétaire de l'animal ainsi que de membres de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) et ce, en respect de toutes les normes en vigueur et autorisations nécessaires."  
© GINIES/SIPA