Une femme de convictions

Laurence Boccolini dans Mademoiselle Joubert © alberto bocos gil/TF1/SIPA
Laurence Boccolini n'a peut-être pas la langue dans sa proche mais elle se garde bien d'afficher au grand jour pour quel parti elle vote. Cependant, elle reste une femme de convictions : après la terrible attaque survenue à Nice le 14 juillet 2016, l'animatrice avait interpellé François Hollande sur Facebook : "Est ce que nous sommes en guerre ? Si oui contre quoi et contre qui ? Qu'avons-nous fait, qu'ont-ils fait ces enfants, ces familles, ces gens comme nous qui ne faisaient que vivre un soir d'été ? Est-ce que nous sommes en guerre ? Si oui dites-le nous monsieur Hollande dont votre coiffeur n'est plus un problème ce matin". Ce à quoi beaucoup d'internautes avaient réagi et regrettaient qu'elle ait donné un indice sur ses opinions politiques : "De droite ? De gauche ? Quelle importance aujourd'hui! Je vous déçois ? Parce que j'ai peur et j'ai de la peine? Nul !, expliquait-elle par la suite sur Twitter. Puis : "C'est pas la peine que des potes de [Nicolas Sarkozy] ou d'autres partis m'envoient des messages ok? Je ne fais pas de politique. Je m'exprime. Je suis triste". 
Laurence Boccolini n'a peut-être pas la langue dans sa proche mais elle se garde bien d'afficher au grand jour pour quel parti elle vote. Cependant, elle reste une femme de convictions : après la terrible attaque survenue à Nice le 14 juillet 2016, l'animatrice avait interpellé François Hollande sur Facebook : "Est ce que nous sommes en guerre ? Si oui contre quoi et contre qui ? Qu'avons-nous fait, qu'ont-ils fait ces enfants, ces familles, ces gens comme nous qui ne faisaient que vivre un soir d'été ? Est-ce que nous sommes en guerre ? Si oui dites-le nous monsieur Hollande dont votre coiffeur n'est plus un problème ce matin". Ce à quoi beaucoup d'internautes avaient réagi et regrettaient qu'elle ait donné un indice sur ses opinions politiques : "De droite ? De gauche ? Quelle importance aujourd'hui! Je vous déçois ? Parce que j'ai peur et j'ai de la peine? Nul !, expliquait-elle par la suite sur Twitter. Puis : "C'est pas la peine que des potes de [Nicolas Sarkozy] ou d'autres partis m'envoient des messages ok? Je ne fais pas de politique. Je m'exprime. Je suis triste". 
© alberto bocos gil/TF1/SIPA