Miramas (13140), Bouches-du-Rhône

J’aime cette ville , les impôts n’ont pas augmenté depuis 12ans , et elle évolue vers la préservation de la nature , de la biodiversité. Les gens sont solidaires , et les enfants ont beaucoup de services :spots , culture, animation.

J’aime cette ville , les impôts n’ont pas augmenté depuis 12ans , et elle évolue vers la préservation de la nature , de la biodiversité. Les gens sont solidaires , et les enfants ont beaucoup de services :spots , culture, animation.

Dans mon cas je préfère plutôt salon de provence. La population est beaucoup plus conviviale.

Le maire à de l'ambition .... il fait des travaux tout azimut et les citoyens vont le payer très cher en impôts bientôt. Par contre pas tous ne paieront........ 45% de la population est exempté........ alors à vos portefeuilles les pigeons......

Ville triste après 19 h. plus personne dans les rues. Commerce en voie de disparition.

Le maire est imbu de sa personne et marque un profond désinteret pour les non socialistes.

ville dortoir!

De très belles pinèdes pour ballader à pied ou à vtt , des prix immobiliers trés raisonnables , 3 lycées , 3 collèges publics et un privé , des écoles primaires , tout pour étudier (si on s'en donne la peine), un réseau de bus intercomunal trés large , des impôts peu élevés , une vie associative vivante , un endettement de la ville à 1 € par habitant , une délinquance en dessous de la moyenne nationnale ( elle comprend aussi celle d'Istres ) Bref on n'yest pas si mal , l'herbe est toujours plu verte dans le jardin du voisin .

Ville tres calme : A 20 heures plus un chat dans la rue. Ce que j'aime à Miramas : Les marchés du jeudi et samedi en plein air. Ce que je n'aime pas à Miramas : Le manque de médecin par rapport a la population. Une clinique médicale. Les commerces insuffisants, manque une poissonnerie les touristes ne viennent pas attrait nul.

A la découverte de mon cheninot de grand-père année 1940 : J'ai le plaisir de découvrir les balades urbaines : dommage, j'ai perdu la médaille sncf de charles philibert : j'aurais pu l'offrir à la ville. Est-ce que cela aurait été intéressant ? Avez vous connu mes grands - parents ? Marthe née musicien, son fils georges et sa fille germaine philibert ? Ce que j'aime à Miramas : Les loisirs indiqués. Je vais y venir en vacance sur les traces de mes grands-parents maternels. Le site de la ville est très bien fait. Merci pour nous faire réfléchir à la correction des fautes d'ortographe sur ces commentaires ( je ne l'ai jamais vu). Ce que je n'aime pas à Miramas : Je n'ai pas trouvé de lieux d'hébergement en meublé ! Adresses des hôtels ?

Pas si mal que ça : J'y suis né et m'y suis toujours plu. Combien de cheminots mutés à miramas avaient le désir d'en partir et finalement y sont restés la retraite venue. Ce que j'aime à Miramas : Une ville qui bouge enfin avec de très gros projets concernant l'emploi et l'image de la ville. Une vie associative et culturelle riche, à la portée financière de tous. Déplacements faciles sur tout le pays. Ce que je n'aime pas à Miramas : Encore trop d'incivilités, surtout de petites incivilités. Mais ce n'est hélas pas particulier à miramas.

A éviter : M'y étant installé pour raison familiale, c'est "obligé" que je supporte tout ce que je n'aime pas... Ce que j'aime à Miramas : Les seuls points positifs sont la gare sncf qui est bien desservie (vieil historique des choix politiques) et le prix des logements. Ce que je n'aime pas à Miramas : Beaucoup de points négatifs : insécurité, incivilité, vandalisme, très peu de commerces, plan de circulation aberrant, loisirs inexistants ou trop ciblés, ville fantôme après 20h00, en fait au centre de rien et loin de tout. De plus, les points positifs sont à relativiser. J'ai travaillé sur marseille pendant 3 ans, en prenant le train tous les jours. Combien de retard, de train annulés... En ce qui concerne les logements, il existe en fait d'autres coin des Bouches-du-Rhône aux prix équivalents et plus attrayants. La grande majorité des personnes que je connais qui vivent sur Miramas voudraient bien en partir, mais n'ont pas les moyens, à part quelques nostalgiques, qui regrettent le Miramas d'avant...