Le dérapage verbal de Jean-Marc Furlan

C'est alors qu'il entraînait Strasbourg que Jean-Marc Furlan s'emporte et insulte l'Italien Fabio Grosso. © Andrea - Fotolia

Alors entraîneur du RC Strasbourg, Jean-Marc Furlan et son équipe affrontent l'Olympique Lyonnais en avril 2008. Lors de l'exclusion d'un joueur strasbourgeois après une faute sur l'Italien Fabio Grosso, les insultes commencent à fuser du banc alsacien.

Une caméra surprend alors Jean-Marc Furlan en train de traiter Grosso d' "Italien de merde, macaroni". En conférence de presse, il se lâche de nouveau : "on ne peut pas dire que l'Italien a renié sa race ou ses gènes".

Des origines italiennes

Face à ses propos dénoncés par plusieurs associations et après la plainte déposée par l'Olympique Lyonnais au nom du joueur, l'entraîneur s'est excusé.

"Le mot racisme m'est totalement étranger et, ayant des origines directes italiennes, je ne peux accepter que certains puissent mettre en cause mon attachement à l'égard de ce pays".

Alors entraîneur du RC Strasbourg, Jean-Marc Furlan et son équipe affrontent l'Olympique Lyonnais en avril 2008. Lors de l'exclusion d'un joueur strasbourgeois après une faute sur l'Italien Fabio Grosso, les insultes commencent à fuser du banc alsacien. Une caméra surprend alors Jean-Marc Furlan en train de traiter Grosso d' "Italien de merde, macaroni". En conférence de presse, il se lâche de nouveau : "on ne peut pas dire que l'Italien a renié sa race ou ses gènes". Des origines italiennes Face à ses propos dénoncés par plusieurs associations et après la plainte déposée par l'Olympique Lyonnais au nom du joueur, l'entraîneur s'est excusé. "Le mot racisme m'est totalement étranger et, ayant des origines directes italiennes, je ne peux accepter que certains puissent mettre en cause mon attachement à l'égard de ce pays".
© Andrea - Fotolia