Faites une échographie

Une échographie sert à chercher l'hématome et à suivre son évolution. © Patrick Hermans - Fotolia

En cas de rupture musculaire, il est conseillé de consulter un médecin pour connaître la gravité du claquage. L'idéal, c'est de passer une échographie une semaine après l'accident. Faite trop tôt, elle est inutile car elle ne permet pas de repérer les éventuelles complications.

L'échographie sert à chercher l'hématome et à suivre son évolution. Si celui-ci gonfle anormalement, il faut le ponctionner.

Grâce aux analyses, le médecin peut aussi déterminer s'il y a des risques de récidive. C'est le cas si la déchirure est partielle, car elle laisse la place à des lésions fibreuses, sources de douleurs. Les chirurgiens peuvent alors aggraver artificiellement la rupture pour qu'elle soit totale, et donc plus facilement soignable.

En cas de lésions chroniques, l'échographie ne suffit plus. Il faut passer une IRM (imagerie par résonance magnétique).

En cas de rupture musculaire, il est conseillé de consulter un médecin pour connaître la gravité du claquage. L'idéal, c'est de passer une échographie une semaine après l'accident. Faite trop tôt, elle est inutile car elle ne permet pas de repérer les éventuelles complications. L'échographie sert à chercher l'hématome et à suivre son évolution. Si celui-ci gonfle anormalement, il faut le ponctionner. Grâce aux analyses, le médecin peut aussi déterminer s'il y a des risques de récidive. C'est le cas si la déchirure est partielle, car elle laisse la place à des lésions fibreuses, sources de douleurs. Les chirurgiens peuvent alors aggraver artificiellement la rupture pour qu'elle soit totale, et donc plus facilement soignable. En cas de lésions chroniques, l'échographie ne suffit plus. Il faut passer une IRM (imagerie par résonance magnétique).
© Patrick Hermans - Fotolia