Entendu comme témoin dès le début de l'affaire, Jonathann Daval avait décidé de se constituer partie civile après le meurtre de son épouse, comme le rapportaient alors ses deux avocats à l'AFP. Cela devait permettre à ce technicien en informatique de 34 ans d' "avoir accès au dossier et de continuer à pouvoir être informé en collaboration avec le parquet". Une démarche qui paraît aujourd'hui beaucoup moins bienveillante et prend davantage une dimension stratégique de la part de celui qui a avoué avoir tué sa femme.
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