La clé pour comprendre les hiéroglyphes

SIPA 51236129 000001 1 © MARY EVANS/SIPA (publiée le 29/12/2022)
Les hiéroglyphes égyptiens sont longtemps restés un mystère. La clé pour parvenir à les déchiffrer a été de comprendre qu'ils pouvaient avoir un usage phonétique dans certaines circonstances, comme les noms propres. Il arrive à cette conclusion après avoir compté que le premier texte contient trois fois plus de hiéroglyphes (1419) que la version en grec ne compte de mots (486). En 1822, Champollion écrivait dans sa Lettre à M. Dacier, "C'est un système complexe, une écriture tout à la fois figurative, symbolique et phonétique, dans un même texte, une même phrase, je dirais presque dans un même mot."
Les hiéroglyphes égyptiens sont longtemps restés un mystère. La clé pour parvenir à les déchiffrer a été de comprendre qu'ils pouvaient avoir un usage phonétique dans certaines circonstances, comme les noms propres. Il arrive à cette conclusion après avoir compté que le premier texte contient trois fois plus de hiéroglyphes (1419) que la version en grec ne compte de mots (486). En 1822, Champollion écrivait dans sa Lettre à M. Dacier, "C'est un système complexe, une écriture tout à la fois figurative, symbolique et phonétique, dans un même texte, une même phrase, je dirais presque dans un même mot."
© MARY EVANS/SIPA (publiée le 29/12/2022)