Cléopâtre à la rescousse

© TrevorLowe/Flickr, CC BY-NC-SA 2.0
La pierre de Rosette seule n'aurait pas suffi à déchiffrer cette écriture oubliée. Il obtient la copie d'une inscription sur un obélisque de Philae, en grec et en hiéroglyphes, qui comporte le nom de Cléopâtre, ou Kleopatra. Cela lui permet de confirmer son hypothèse, puisqu'il retrouve les hiéroglyphes qu'il avait attribués aux lettres L, O et P. Il obtient ainsi la correspondance phonétique de 12 hiéroglyphes. Il découvre par la même occasion que le T, représenté par une demi-lune dans Ptolmys, est remplacé ici par une main tendue. De plus, Kleopatra est terminé par deux symboles supplémentaires, qui indiquent le genre féminin.
La pierre de Rosette seule n'aurait pas suffi à déchiffrer cette écriture oubliée. Il obtient la copie d'une inscription sur un obélisque de Philae, en grec et en hiéroglyphes, qui comporte le nom de Cléopâtre, ou Kleopatra. Cela lui permet de confirmer son hypothèse, puisqu'il retrouve les hiéroglyphes qu'il avait attribués aux lettres L, O et P. Il obtient ainsi la correspondance phonétique de 12 hiéroglyphes. Il découvre par la même occasion que le T, représenté par une demi-lune dans Ptolmys, est remplacé ici par une main tendue. De plus, Kleopatra est terminé par deux symboles supplémentaires, qui indiquent le genre féminin.
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