Une défaite comme marchepied vers Moscou !

Vladimir Poutine avec la femme d'Anatoly Sobtchak lors des obsèques de l'ancien maire de Saint-Petersbourg, en 2000. © Alexei Druzhinin/AP/SIPA

A Saint-Petersbourg, Vladimir Poutine parvient néanmoins peu à peu à se faire sa place auprès du maire de la ville, Anatoli Sobtchak. "C'est un ami qui m'a dit que Sobtchak manquait de collaborateurs et qu'il était entouré d'escrocs. Il m'a demandé si je ne pourrais pas l'aider", racontera Poutine en 2000, un peu après la mort d'Anatoly Sobtchak. Son mentor manque toutefois sa réélection en 1996.

Un coup d'arrêt qui se transforme en opportunité pour le jeune Poutine. "C'était tout à fait inattendu, juste après notre échec aux municipales de Saint-Pétersbourg, [Pavel Borodine, intendant du Kremlin ndlr] m'a appelé pour me demander si je ne voudrais pas travailler dans l'administration présidentielle. J'ai dit oui. Trois mois plus tard, j'étais vice-responsable des affaires présidentielles."

A Saint-Petersbourg, Vladimir Poutine parvient néanmoins peu à peu à se faire sa place auprès du maire de la ville, Anatoli Sobtchak. "C'est un ami qui m'a dit que Sobtchak manquait de collaborateurs et qu'il était entouré d'escrocs. Il m'a demandé si je ne pourrais pas l'aider", racontera Poutine en 2000, un peu après la mort d'Anatoly Sobtchak. Son mentor manque toutefois sa réélection en 1996. Un coup d'arrêt qui se transforme en opportunité pour le jeune Poutine. "C'était tout à fait inattendu, juste après notre échec aux municipales de Saint-Pétersbourg, [Pavel Borodine, intendant du Kremlin ndlr] m'a appelé pour me demander si je ne voudrais pas travailler dans l'administration présidentielle. J'ai dit oui. Trois mois plus tard, j'étais vice-responsable des affaires présidentielles."
© Alexei Druzhinin/AP/SIPA