L'humiliation vécue à Dresde

Vladimir Poutine à Dresde en 2006. © DMITRY ASTAKHOV/AP/SIPA

Vladimir Poutine se voit contraint rapidement de quitter Dresde pour retourner dans une URSS moribonde. Il dit alors emporter une machine à laver tout juste acquise et plie bagage pour Saint-Petersbourg. "Je suis rentré à Leningrad, où j'ai accepté de travailler à l'université. J'espérais en profiter pour rédiger une thèse. En 1990, j'ai obtenu un poste d'assistant auprès du recteur, chargé des relations internationales. J'étais, comme on dit, en réserve active", commenta Poutine en 2000, interrogé par le journal suisse Le Temps.

De Dresde, Vladimir Poutine gardera un souvenir contrasté, marqué par la chute d'un empire et d'une partie de sa vie. Il y reviendra en 2006 lors d'une visite officielle qui le verra à nouveau poser sur les bords de l'Elbe.

Vladimir Poutine se voit contraint rapidement de quitter Dresde pour retourner dans une URSS moribonde. Il dit alors emporter une machine à laver tout juste acquise et plie bagage pour Saint-Petersbourg. "Je suis rentré à Leningrad, où j'ai accepté de travailler à l'université. J'espérais en profiter pour rédiger une thèse. En 1990, j'ai obtenu un poste d'assistant auprès du recteur, chargé des relations internationales. J'étais, comme on dit, en réserve active", commenta Poutine en 2000, interrogé par le journal suisse Le Temps. De Dresde, Vladimir Poutine gardera un souvenir contrasté, marqué par la chute d'un empire et d'une partie de sa vie. Il y reviendra en 2006 lors d'une visite officielle qui le verra à nouveau poser sur les bords de l'Elbe.
© DMITRY ASTAKHOV/AP/SIPA