Ses méthodes pour humilier ses interlocuteurs

Angela Merkel avec Connie, le labrador de Vladimir Poutine lors d'une réunion en 2007, peu après son élection en tant que chancelière. © ITAR-TASS/AP/SIPA

De son passé d'espion, Vladimir Poutine a conservé le sens du détail et du renseignement pour prendre l'avantage sur son interlocuteur. Exemple en 2007 lors d'une de ses premières rencontres avec la chancelière allemande Angela Merkel. "Angela Merkel n'a pas peur de grand-chose, mais elle a peur des chiens, et il y en a un qui a su utiliser cette peur de manière totalement cynique et machiavélique, c'est Vladimir Poutine", raconte Marion Van Renterghem, auteure de la biographie Angela Merkel, l'ovni politique dans un numéro de l'émission de France 2 20h30 le dimanche.

"Elle m'avait raconté cet épisode qui l'avait considérablement marquée de sa rencontre avec Poutine, confie François Hollande. Elle m'a dit que Poutine savait qu'elle n'aimait pas les chiens, ce qui m'avait d'ailleurs assez bien éclairé sur la personnalité de Vladimir Poutine."

Pause