Fraîchement libéré (et placé sous contrôle judiciaire) le 18 février, Piotr Pavlenski a confié être "content d'avoir fait ça" quant à la diffusion des vidéos de Benjamin Griveaux. "C'était une situation très dangereuse. Si la personne qui commence sa campagne avec une grande hypocrisie, avec ce grand mensonge, ce grand mépris contre tous les Parisiens, prend le pouvoir, c'est une situation monstrueuse", a-t-il expliqué aux médias présents sur place. À peine sorti du commissariat, l'homme a assuré qu'il "espère pouvoir continuer" : "Je commence seulement le projet pornopolitique. C'est mon nouveau projet [...] et j'espère que je pourrai continuer parce qu'après le troisième jour de ce projet, le site a été bloqué", a-t-il souligné. Et de dénoncer : "Je pensais que la France était un pays de liberté d'expression, mais ce n'est pas du tout le cas".
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