Pavlenski rejette fermement les soupçons d'ingérence russe

Piotr Pavlenski le 8 octobre 2016 à Paris. © MARTINI VIRGILIO / SIPA

Depuis l'éclatement de l'affaire Griveaux, des soupçons d'ingérence russe ont émergé. Autrement dit, l'hypothèse que Piotr Pavlenski aurait agi en complicité avec le régime de Vladimir Poutine dans le but de déstabiliser Emmanuel Macron. "On a dit que j'étais du FSB (les services secrets russes, ndlr), qu'il y avait le Kremlin derrière moi, mais c'est facile, on dit toujours ça quand les choses dérangent ou ne plaisent pas. C'est mon projet et les policiers verront dans mes ordinateurs qu'ils ont saisis qu'il n'y a rien d'autre. Moi, mes actes sont artistiques et politiques, je veux révéler les mécaniques du pouvoir", a-t-il déclaré mardi 18 février au soir devant le palais de justice de Paris.

Depuis l'éclatement de l'affaire Griveaux, des soupçons d'ingérence russe ont émergé. Autrement dit, l'hypothèse que Piotr Pavlenski aurait agi en complicité avec le régime de Vladimir Poutine dans le but de déstabiliser Emmanuel Macron. "On a dit que j'étais du FSB (les services secrets russes, ndlr), qu'il y avait le Kremlin derrière moi, mais c'est facile, on dit toujours ça quand les choses dérangent ou ne plaisent pas. C'est mon projet et les policiers verront dans mes ordinateurs qu'ils ont saisis qu'il n'y a rien d'autre. Moi, mes actes sont artistiques et politiques, je veux révéler les mécaniques du pouvoir", a-t-il déclaré mardi 18 février au soir devant le palais de justice de Paris.
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