Sur l'hypothèse d'un complot russe, le secrétaire d'Etat au numérique Cédric O se montre très prudent. Il assurait ainsi à franceinfo en début de semaine ne disposer "à ce stade" d'aucune information laissant penser qu'il pourrait y avoir "autre chose qu'un agissement personnel". "Si ça devait être le cas, ce serait très grave", assure le ministre. Et d'insister : "Nous n'avons aucune preuve ni aucun indice qui nous laisse penser que la Russie soit impliquée". Alors que les médias indiquent depuis vendredi 14 février que l'affaire repose sur la mise en ligne de deux documents vidéo, Le Monde a par ailleurs révélé lundi 17 février que "selon (s)es informations", "il y en a davantage que les deux qui seront finalement publiées".
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