Gérald Darmanin estime être victime d'une "chasse à l'homme"

Gérald Darmanin le 15 juillet 2020 à l'Elysée. © Christophe Ena / AP / SIPA
Sur Europe 1 le 16 juillet, Gérald Darmanin s'est quant à lui dit "victime d'une chasse à l'homme" face aux manifestations et tribunes critiques à son encontre, notamment féministes mais aussi d'une partie du monde politique qu'il "ne souhaite même pas à [s]on pire ennemi". "Je fais l'objet d'une calomnie", a dénoncé le nouveau ministre de l'Intérieur, pointant des "raisons politiques" aux critiques dont il fait l'objet, et une volonté de l'opposition "d'affaiblir le gouvernement du président de la République". Il cite notamment à cet égard les noms de Rachida Dati, maire Les Républicains du 7e arrondissement de Paris et ancienne ministre de la Justice, et de la fondatrice du mouvement Libres Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France : anciennes collègues de Gérald Darmanin, elles ont toutes deux dénoncé publiquement sa nomination.
Sur Europe 1 le 16 juillet, Gérald Darmanin s'est quant à lui dit "victime d'une chasse à l'homme" face aux manifestations et tribunes critiques à son encontre, notamment féministes mais aussi d'une partie du monde politique qu'il "ne souhaite même pas à [s]on pire ennemi". "Je fais l'objet d'une calomnie", a dénoncé le nouveau ministre de l'Intérieur, pointant des "raisons politiques" aux critiques dont il fait l'objet, et une volonté de l'opposition "d'affaiblir le gouvernement du président de la République". Il cite notamment à cet égard les noms de Rachida Dati, maire Les Républicains du 7e arrondissement de Paris et ancienne ministre de la Justice, et de la fondatrice du mouvement Libres Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France : anciennes collègues de Gérald Darmanin, elles ont toutes deux dénoncé publiquement sa nomination.
© Christophe Ena / AP / SIPA