Qu'en dit Emmanuel Macron ?

Le président Macron le 14 juillet 2020 à Paris. © Christophe Ena / AP / SIPA
Au cours de l'entretien télévisé donné le 14-Juillet, le chef de l'Etat a souligné son rôle de "garant de la présomption d'innocence". Prenant la défense de Gérald Darmanin, il a souligné que les faits reprochés "remontent à beaucoup plus loin" que le début de son quinquennat, et que "cette affaire a déjà fait l'objet de plusieurs enquêtes, et à plusieurs reprises a été classée ou a donné lieu à une absence de suites". Quant à la reprise des investigations mi-juin, il a estimé : "Il y a une procédure pour des raisons de forme qui revient [...], il ne m'appartient pas d'en juger". Sur son choix de nomination, le président a déploré qu' "à partir du moment où quelqu'un est accusé, n'est pas jugé, il devient en quelque sorte la victime d'un jugement de rue ou de réseaux sociaux". Emmanuel Macron a aussi estimé qu'il avait "une relation de confiance d'homme à homme" avec Gérald Darmanin. Une phrase qui a fait bondir les féministes.
Au cours de l'entretien télévisé donné le 14-Juillet, le chef de l'Etat a souligné son rôle de "garant de la présomption d'innocence". Prenant la défense de Gérald Darmanin, il a souligné que les faits reprochés "remontent à beaucoup plus loin" que le début de son quinquennat, et que "cette affaire a déjà fait l'objet de plusieurs enquêtes, et à plusieurs reprises a été classée ou a donné lieu à une absence de suites". Quant à la reprise des investigations mi-juin, il a estimé : "Il y a une procédure pour des raisons de forme qui revient [...], il ne m'appartient pas d'en juger". Sur son choix de nomination, le président a déploré qu' "à partir du moment où quelqu'un est accusé, n'est pas jugé, il devient en quelque sorte la victime d'un jugement de rue ou de réseaux sociaux". Emmanuel Macron a aussi estimé qu'il avait "une relation de confiance d'homme à homme" avec Gérald Darmanin. Une phrase qui a fait bondir les féministes.
© Christophe Ena / AP / SIPA