... épaulé par un chien

Bernard Tapie le 12 mars 2014 à Marseille. © Claude Paris/AP/SIPA

"La première fois qu'il m'a parlé de Boboy, il m'a montré des photos de lui sur son portable, l'air ému, comme si c'était un enfant ou une ancienne amourette", se souvient Franz-Olivier Giesbert. Prises par Dominique pendant une sieste du chien et de Bernard Tapie, bras dessus, bras dessous, sous les draps, elles montraient bien la relation fusionnelle unissant l'animal et son maître. "Il préférait ma femme", reconnaît BT, "mais du jour où il a senti que j'étais affaibli, il a commencé à s'occuper de moi, et pas qu'un peu." Cane corso, une race de chiens aussi costauds qu'athlétiques d'origine italienne, le chien s'est couché près de Tapie à chaque fois qu'il était très fatigué, après son opération de l'estomac et de l'œsophage. L'ancien président de l'OM le prenait alors dans ses bras et se sentait rechargé en énergie "un quart d'heure après".

"La première fois qu'il m'a parlé de Boboy, il m'a montré des photos de lui sur son portable, l'air ému, comme si c'était un enfant ou une ancienne amourette", se souvient Franz-Olivier Giesbert. Prises par Dominique pendant une sieste du chien et de Bernard Tapie, bras dessus, bras dessous, sous les draps, elles montraient bien la relation fusionnelle unissant l'animal et son maître. "Il préférait ma femme", reconnaît BT, "mais du jour où il a senti que j'étais affaibli, il a commencé à s'occuper de moi, et pas qu'un peu." Cane corso, une race de chiens aussi costauds qu'athlétiques d'origine italienne, le chien s'est couché près de Tapie à chaque fois qu'il était très fatigué, après son opération de l'estomac et de l'œsophage. L'ancien président de l'OM le prenait alors dans ses bras et se sentait rechargé en énergie "un quart d'heure après".
© Claude Paris/AP/SIPA