21 mars 2010 : la défaite des régionales

Un meeting de la liste emmenée par Jean-Paul Huchon à Paris en février 2010. © Philippe Grangeaud/Solfé communication
Coup dur. Une victoire nette de l'opposition, un bol d'air pour le PS, la confirmation de la nouvelle puissance des écologistes, un désastre pour le Modem et une gifle pour l'UMP. Voilà le bilan des régionales des 14 et 21 mars 2010, seul grand rendez-vous électoral de 2010 et dernière page tournée avant la présidentielle de 2012. Tendue, la campagne aura été marquée par une polémique sur Ali Soumaré, candidat socialiste en Ile-de-France qualifié de "délinquant multirécidiviste" par la droite, mais aussi et surtout par le cas de Georges Frêche, exclu du PS mais victorieux dans sa région, le Languedoc-Roussillon. Pour Nicolas Sarkozy, les régionales concrétisent dans les urnes le désamour grandissant des Français qu'illustrent déjà depuis des mois les sondages.
Coup dur. Une victoire nette de l'opposition, un bol d'air pour le PS, la confirmation de la nouvelle puissance des écologistes, un désastre pour le Modem et une gifle pour l'UMP. Voilà le bilan des régionales des 14 et 21 mars 2010, seul grand rendez-vous électoral de 2010 et dernière page tournée avant la présidentielle de 2012. Tendue, la campagne aura été marquée par une polémique sur Ali Soumaré, candidat socialiste en Ile-de-France qualifié de "délinquant multirécidiviste" par la droite, mais aussi et surtout par le cas de Georges Frêche, exclu du PS mais victorieux dans sa région, le Languedoc-Roussillon. Pour Nicolas Sarkozy, les régionales concrétisent dans les urnes le désamour grandissant des Français qu'illustrent déjà depuis des mois les sondages.
© Philippe Grangeaud/Solfé communication