31 juillet 2010 : le discours de Grenoble

Nicolas Sarkozy sera accusé, après le discours de Grenoble, de courir après les électeurs du FN. © UN Photo/Mark Garten
Polémique. L'été 2010 correspond à un virage sécuritaire pour bon nombre de commentateurs de la vie politique. Après des violences à Grenoble, où des policiers ont été les cibles de tirs à balles réelles, et après l'attaque d'un commissariat à Saint-Aignan par des gens du voyage, Nicolas Sarkozy prononce un discours très musclé dans la capitale de l'Isère. Le chef de l'Etat y exprime le souhait de déchoir de la nationalité française toute personne d'origine étrangère qui porterait atteinte à la vie d'un représentant de l'Etat. Un projet qui donnera lieu à une loi controversée. Il souligne aussi sa volonté de mettre fin à "50 années d'immigration insuffisamment régulées qui ont abouti à un échec de l'intégration". Le discours de Grenoble reste comme l'un des plus controversés du quinquennat et donnera bientôt lieu à une nouvelle polémique sur les Roms.
Polémique. L'été 2010 correspond à un virage sécuritaire pour bon nombre de commentateurs de la vie politique. Après des violences à Grenoble, où des policiers ont été les cibles de tirs à balles réelles, et après l'attaque d'un commissariat à Saint-Aignan par des gens du voyage, Nicolas Sarkozy prononce un discours très musclé dans la capitale de l'Isère. Le chef de l'Etat y exprime le souhait de déchoir de la nationalité française toute personne d'origine étrangère qui porterait atteinte à la vie d'un représentant de l'Etat. Un projet qui donnera lieu à une loi controversée. Il souligne aussi sa volonté de mettre fin à "50 années d'immigration insuffisamment régulées qui ont abouti à un échec de l'intégration". Le discours de Grenoble reste comme l'un des plus controversés du quinquennat et donnera bientôt lieu à une nouvelle polémique sur les Roms.
© UN Photo/Mark Garten