Wallerand de Saint-Just, la branche tradi

Wallerand de Saint-Just était candidat aux municipales à Paris. © LCHAM/SIPA
Le parcours est celui d'un catho-tradi devenu politique. Né en 1950, Wallerand de Saint-Just, candidat à Paris, est le fils d'un maire picard. Etudiant en droit à Assas, il fréquente le "Groupe union défense" et avoue s'être endurci dans des bagarres contre les gauchistes. Au milieu des années 1970, il participe à l'occupation de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnay, qui devient la vitrine du catholicisme traditionaliste. Marié, père de quatre enfants, il poursuite une carrière d'avocat. Il défend des dirigeants serbes devant la cour de La Haye, mais aussi Jean-Marie Le Pen lors de nombreux procès. Il s'est distancé de son mentor pour rejoindre la cohorte des mariniste. Déjà candidat à la mairie de Paris en 1989, il n'avait recueilli que quelques votes, malgré des scores élevés dans les arrondissements du nord-est. S'il possède un pied-à-terre dans la capitale, il réside dans les Hauts-de-Seine.
Le parcours est celui d'un catho-tradi devenu politique. Né en 1950, Wallerand de Saint-Just, candidat à Paris, est le fils d'un maire picard. Etudiant en droit à Assas, il fréquente le "Groupe union défense" et avoue s'être endurci dans des bagarres contre les gauchistes. Au milieu des années 1970, il participe à l'occupation de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnay, qui devient la vitrine du catholicisme traditionaliste. Marié, père de quatre enfants, il poursuite une carrière d'avocat. Il défend des dirigeants serbes devant la cour de La Haye, mais aussi Jean-Marie Le Pen lors de nombreux procès. Il s'est distancé de son mentor pour rejoindre la cohorte des mariniste. Déjà candidat à la mairie de Paris en 1989, il n'avait recueilli que quelques votes, malgré des scores élevés dans les arrondissements du nord-est. S'il possède un pied-à-terre dans la capitale, il réside dans les Hauts-de-Seine.
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