Hollande : son "manque d’idée"

François Hollande avait fait part de ses inquiétudes sur le "nationalisme" lors d'une entrevue informelle avec les diplomates © PAGANELLI / SIPA
  • Document : Câble diplomatique 05PARIS4760
  • Date : 8 août 2005
  • Source : Ambassade des Etats-Unis à Paris
Ce n'est pas la première fois que le site révèle les secrets de nos dirigeants. Parmi la masse documents diplomatiques américains dont la fuite avait été organisée par Wikileaks en 2010, certains retiennent l’attention a posteriori. Comme un portrait pas franchement sympathique dressé par des membres de l’ambassade américaine en France de François Hollande, qui était alors premier secrétaire du Parti socialiste. Si, lors d’une rencontre informelle organisée en 2005, les diplomates américains ont été "impressionnés" par sa vision "perspicace" des sujets nationaux et internationaux, ils doutent sérieusement de son "punch politique" et de sa capacité à être un "leader apportant un programme clair". L’ambassadeur américain, Craig Stapleton, ne le voit pas candidat en 2007, soulignant que "ses commentaires se focalisent sur un diagnostic général sans jamais apporter de remède concrets".
  • Document : Câble diplomatique 05PARIS4760
  • Date : 8 août 2005
  • Source : Ambassade des Etats-Unis à Paris
Ce n'est pas la première fois que le site révèle les secrets de nos dirigeants. Parmi la masse documents diplomatiques américains dont la fuite avait été organisée par Wikileaks en 2010, certains retiennent l’attention a posteriori. Comme un portrait pas franchement sympathique dressé par des membres de l’ambassade américaine en France de François Hollande, qui était alors premier secrétaire du Parti socialiste. Si, lors d’une rencontre informelle organisée en 2005, les diplomates américains ont été "impressionnés" par sa vision "perspicace" des sujets nationaux et internationaux, ils doutent sérieusement de son "punch politique" et de sa capacité à être un "leader apportant un programme clair". L’ambassadeur américain, Craig Stapleton, ne le voit pas candidat en 2007, soulignant que "ses commentaires se focalisent sur un diagnostic général sans jamais apporter de remède concrets".
© PAGANELLI / SIPA