C'est un fondu d'automobile depuis toujours

François Fillon a fait les 24H du Mans Classic au volant d'une Ferrari, ici en 2004. © CHAMUSSY / SIPA
En face de l'école communale de Cérans-Foulletourte, la bourgade de la Sarthe où grandissent Fillon et ses frères, l'hôtel-restaurant du Croissant accueille le siège de l'écurie Austin-Healey à chaque 24 Heures du Mans. Dans les années 60, le jeune François s'y rue après la classe. Une passion est née.

"Mon frère [Pierre] est beaucoup plus rapide que moi"

Il a d'ailleurs assisté à cette course automobile dès l'âge de 1 an en compagnie de son grand-père, garagiste pour l'événement dans les années 20. Après s'être acheté des voitures rapides (R5 Alpine, 405 MI 16…), François Fillon remettra à flot les 24 Heures à la fin des années 90, alors président du Conseil Général de la Sarthe. Il rachète le circuit, monte une société d'économie mixte rémunératrice et prend ses premiers cours de pilotage. Son frère Pierre, président de l'asso des 24 Heures, reste, d'après François Fillon, "beaucoup plus rapide" que lui sur la piste...
En face de l'école communale de Cérans-Foulletourte, la bourgade de la Sarthe où grandissent Fillon et ses frères, l'hôtel-restaurant du Croissant accueille le siège de l'écurie Austin-Healey à chaque 24 Heures du Mans. Dans les années 60, le jeune François s'y rue après la classe. Une passion est née. "Mon frère [Pierre] est beaucoup plus rapide que moi" Il a d'ailleurs assisté à cette course automobile dès l'âge de 1 an en compagnie de son grand-père, garagiste pour l'événement dans les années 20. Après s'être acheté des voitures rapides (R5 Alpine, 405 MI 16…), François Fillon remettra à flot les 24 Heures à la fin des années 90, alors président du Conseil Général de la Sarthe. Il rachète le circuit, monte une société d'économie mixte rémunératrice et prend ses premiers cours de pilotage. Son frère Pierre, président de l'asso des 24 Heures, reste, d'après François Fillon, "beaucoup plus rapide" que lui sur la piste...
© CHAMUSSY / SIPA