De nombreux patrons le soutiennent

Henri de Castries, un chef d'entreprise ministrable si Fillon devient président. © ERIC PIERMONT / AFP
Dans sa course à l'Elysée et auparavant à l'investiture du parti Les Républicains à la présidentielle 2017, le vainqueur de la primaire de la droite et du centre face à un Alain Juppé défait n'a pas seulement bénéficié du soutien de quelques 80 parlementaires (sur 341).

Un positionnement économique néothatchérien qui séduit

De nombreux patrons sont également mobilisés dans son équipe de campagne, de l'ex-PDG de la compagnie d'assurance Axa Henri de Castries, ami de longue date, à Patrick Pouyanné (Total), en passant par Alain Afflelou, Denis Ranque (Airbus), Pierre Danon (ex-PDG de Numéricable et British Telecom), Arnaud de Montlaur, banquier chez Quilvest ou Stanislas de Betzmann, président de Devoteam et ex-dirigeant de Coissance Plus, pour n'en citer que quelques-uns. Avec son positionnement économique néothatchérien, François Fillon séduit les dirigeants d'entreprise.
Dans sa course à l'Elysée et auparavant à l'investiture du parti Les Républicains à la présidentielle 2017, le vainqueur de la primaire de la droite et du centre face à un Alain Juppé défait n'a pas seulement bénéficié du soutien de quelques 80 parlementaires (sur 341). Un positionnement économique néothatchérien qui séduit De nombreux patrons sont également mobilisés dans son équipe de campagne, de l'ex-PDG de la compagnie d'assurance Axa Henri de Castries, ami de longue date, à Patrick Pouyanné (Total), en passant par Alain Afflelou, Denis Ranque (Airbus), Pierre Danon (ex-PDG de Numéricable et British Telecom), Arnaud de Montlaur, banquier chez Quilvest ou Stanislas de Betzmann, président de Devoteam et ex-dirigeant de Coissance Plus, pour n'en citer que quelques-uns. Avec son positionnement économique néothatchérien, François Fillon séduit les dirigeants d'entreprise.
© ERIC PIERMONT / AFP