Emballement médiatique

"Alors que son séjour touche à sa fin, le président est pris d'un malaise" © PATRICK KOVARIK / POOL / AFP
L'ouvrage revient également sur la naissance de la fausse annonce du décès de Jacques Chirac le 21 septembre 2016, trois jours après son hospitalisation pour infection pulmonaire de retour du Maroc.
"On lui avait pourtant déconseillé de partir au Maroc. Mais le 1er août, ses proches et l'équipe médicale l'ont finalement laissé rejoindre Agadir, pour savourer le calme et la fraîcheur du palais du roi Mohammed VI. (...) Samedi 17 septembre en fin de soirée, alors que son séjour touche à sa fin, le président est pris d'un malaise. L'équipe médicale sur place décide de le rapatrier en France d'urgence nuitamment. Jacques Chirac est immédiatement transféré à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Il est atteint d'une infection pulmonaire, une maladie qui l'avait déjà cloué dans un lit d'hôpital quelques mois auparavant. Dès le lendemain, le 18 septembre, tout s'emballe et les chaînes de télévision, les radios, les réseaux sociaux ne parlent plus que de la santé de Jacques Chirac."
L'ouvrage revient également sur la naissance de la fausse annonce du décès de Jacques Chirac le 21 septembre 2016, trois jours après son hospitalisation pour infection pulmonaire de retour du Maroc. "On lui avait pourtant déconseillé de partir au Maroc. Mais le 1er août, ses proches et l'équipe médicale l'ont finalement laissé rejoindre Agadir, pour savourer le calme et la fraîcheur du palais du roi Mohammed VI. (...) Samedi 17 septembre en fin de soirée, alors que son séjour touche à sa fin, le président est pris d'un malaise. L'équipe médicale sur place décide de le rapatrier en France d'urgence nuitamment. Jacques Chirac est immédiatement transféré à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Il est atteint d'une infection pulmonaire, une maladie qui l'avait déjà cloué dans un lit d'hôpital quelques mois auparavant. Dès le lendemain, le 18 septembre, tout s'emballe et les chaînes de télévision, les radios, les réseaux sociaux ne parlent plus que de la santé de Jacques Chirac."
© PATRICK KOVARIK / POOL / AFP