Une info démentie par l'Elysée

"La famille Chirac attendrait le retour du président François Hollande de New-York pour débrancher le malade" © SIPA

Dans "Président, la nuit vient de tomber", l'emballement médiatique de décembre 2016 sur la mort à venir de Jacques Chirac est décortiquée jusqu'à l'épisode de l'annonce de l'hospitalisation de Bernadette Chirac, très fatiguée.
"La machine médiatique tourne à plein régime. (...) Chaque minute qui passe est un pas de plus vers la certitude de sa disparition. (...) Le mercredi 21 septembre, le couperet tombe. Jacques Chirac est mort. C'est en tout cas ce qu'affirment des réseaux sociaux. Une autre rumeur circule au même moment : la famille Chirac attendrait le retour du président François Hollande de New York pour débrancher le malade. Une information immédiatement démentie par l'Élysée. Ce même jour, à dix-huit heures trente, l'Agence France-Presse annonce que Bernadette Chirac a été à son tour hospitalisée, épuisée par ces trois jours de folles rumeurs, anéantie de chagrin devant le corps de son mari inanimé et intubé. (...) Jacques Chirac n'a maintenant plus aucune prise sur sa vie, on lui vole sa mort (...)."

Dans "Président, la nuit vient de tomber", l'emballement médiatique de décembre 2016 sur la mort à venir de Jacques Chirac est décortiquée jusqu'à l'épisode de l'annonce de l'hospitalisation de Bernadette Chirac, très fatiguée. "La machine médiatique tourne à plein régime. (...) Chaque minute qui passe est un pas de plus vers la certitude de sa disparition. (...) Le mercredi 21 septembre, le couperet tombe. Jacques Chirac est mort. C'est en tout cas ce qu'affirment des réseaux sociaux. Une autre rumeur circule au même moment : la famille Chirac attendrait le retour du président François Hollande de New York pour débrancher le malade. Une information immédiatement démentie par l'Élysée. Ce même jour, à dix-huit heures trente, l'Agence France-Presse annonce que Bernadette Chirac a été à son tour hospitalisée, épuisée par ces trois jours de folles rumeurs, anéantie de chagrin devant le corps de son mari inanimé et intubé. (...) Jacques Chirac n'a maintenant plus aucune prise sur sa vie, on lui vole sa mort (...)."
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