Un "fusible" 

Alexandre Benalla photographié avec Makao, membre de l'équipe de sécurité du candidat Macron, le 1er mai 2017.
Alexandre Benalla se présente dans son ouvrage en "fusible" et livre ce qui est à ses yeux la vraie raison de l'affaire qui l'a visé à l'été 2018 : à son arrivée au Palais présidentiel, il aurait voulu réformer le dispositif de sécurité du chef de l'Etat et des hauts fonctionnaires lui auraient fait payer cette outrance. Savant mélange entre policiers, gendarmes et militaires, la sécurité de l'Elysée était jusqu'ici divisée entre le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), le commandement militaire en charge de la sécurité des bâtiments et les services logistiques. En voulant les regrouper sous un commandement unique (ce qui a finalement été fait au printemps 2019), Benalla aurait selon lui "bousculé les habitudes", ce qui l'aurait conduit, selon lui, à sa perte.
Alexandre Benalla se présente dans son ouvrage en "fusible" et livre ce qui est à ses yeux la vraie raison de l'affaire qui l'a visé à l'été 2018 : à son arrivée au Palais présidentiel, il aurait voulu réformer le dispositif de sécurité du chef de l'Etat et des hauts fonctionnaires lui auraient fait payer cette outrance. Savant mélange entre policiers, gendarmes et militaires, la sécurité de l'Elysée était jusqu'ici divisée entre le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), le commandement militaire en charge de la sécurité des bâtiments et les services logistiques. En voulant les regrouper sous un commandement unique (ce qui a finalement été fait au printemps 2019), Benalla aurait selon lui "bousculé les habitudes", ce qui l'aurait conduit, selon lui, à sa perte.