Il assume tout, mais…

Alexandre Benalla après son audition par la Commission des lois du Sénat, le 21 janvier 2019. © Christophe Ena/AP/SIPA
Sur le fond de l'affaire, Alexandre Benalla "assume", donc, comme il le dit plusieurs fois dans son livre. "Des erreurs ont été commises évidemment, par moi, c'est certain", écrit notamment l'ancien chargé de mission qui plaide l'"ignorance" et la "naïveté" au sujet des événements du 1er mai 2018. Pour autant, il ne regrette pas son intervention ce jour-là, qu'il continue de juger "légitime". "Il semble malgré tout que j'aie le dos bien large", ajoute Benalla dans son livre. "Et je suis loin d'être le seul responsable de ce naufrage. Je suis le fusible utile du pouvoir", assure aussi celui qui estime avoir été victime des "hommes en costume gris" qui détiennent les clés du Palais et qu'il dit avoir dérangés pendant son passage à l'Elysée.
Sur le fond de l'affaire, Alexandre Benalla "assume", donc, comme il le dit plusieurs fois dans son livre. "Des erreurs ont été commises évidemment, par moi, c'est certain", écrit notamment l'ancien chargé de mission qui plaide l'"ignorance" et la "naïveté" au sujet des événements du 1er mai 2018. Pour autant, il ne regrette pas son intervention ce jour-là, qu'il continue de juger "légitime". "Il semble malgré tout que j'aie le dos bien large", ajoute Benalla dans son livre. "Et je suis loin d'être le seul responsable de ce naufrage. Je suis le fusible utile du pouvoir", assure aussi celui qui estime avoir été victime des "hommes en costume gris" qui détiennent les clés du Palais et qu'il dit avoir dérangés pendant son passage à l'Elysée.
© Christophe Ena/AP/SIPA