Son combat contre les "costumes gris"

Alexandre Benalla lors de son audition par la Commission des lois du Sénat, le 21 janvier 2019. © Christophe Ena/AP/SIPA
L'un des leitmotiv de ce livre, c'est le "combat" d'Alexandre Benalla contre les "costumes gris". Les membres de la haute administration (préfets et gendarmes), les sénateurs, les journalistes, le "système médiatico-politique" et ces personnages "tétanisés" à l'idée de perdre leur poste ou de froisser Emmanuel Macron selon lui. "On ne m'a jamais appelé couscous", tient d'emblée à préciser Benalla, qui écarte tout soupçon de racisme. Mais il tire à vue notamment sur le chef de cabinet du président François-Xavier Lauch (qui lui conseillera de "s'institutionnaliser"), le conseiller de l'Elysée Ismaël Emelien (qui lui lancera en pleine affaire : "On regarde de notre côté si tu démissionnes ou si on te licencie") et surtout Patrick Strzoda, le directeur de cabinet du président qui prononcera sa mise à l'écart. "Lui, c'est le top du top", écrit Benalla qui soutient dans le livre la thèse d'un "Etat profond".
L'un des leitmotiv de ce livre, c'est le "combat" d'Alexandre Benalla contre les "costumes gris". Les membres de la haute administration (préfets et gendarmes), les sénateurs, les journalistes, le "système médiatico-politique" et ces personnages "tétanisés" à l'idée de perdre leur poste ou de froisser Emmanuel Macron selon lui. "On ne m'a jamais appelé couscous", tient d'emblée à préciser Benalla, qui écarte tout soupçon de racisme. Mais il tire à vue notamment sur le chef de cabinet du président François-Xavier Lauch (qui lui conseillera de "s'institutionnaliser"), le conseiller de l'Elysée Ismaël Emelien (qui lui lancera en pleine affaire : "On regarde de notre côté si tu démissionnes ou si on te licencie") et surtout Patrick Strzoda, le directeur de cabinet du président qui prononcera sa mise à l'écart. "Lui, c'est le top du top", écrit Benalla qui soutient dans le livre la thèse d'un "Etat profond".
© Christophe Ena/AP/SIPA