Alexandre Benalla le promet dans son livre surprise, mais aussi dans la promo éclair qui l'accompagne dans Le Point : il n'éludera rien de ce qui a pu lui être reproché dans les nombreuses ramifications de l'affaire. Il reconnait et explique notamment les contrats signés avec des oligarques russes dans le cadre de son activité privée. Il évoque aussi la disparition de son coffre-fort, qu'il aura mis à l'abri, par le biais "d'un ami" avant les perquisitions menées à son domicile dans le cadre de l'affaire. Benalla l'assure : ce coffre fort ne contenait selon lui que ses armes, détenues en toute légalité. Il n'entre pourtant que très peu dans le détail des passeports diplomatiques qu'il détenait encore après son licenciement et qu'il a utilisés dans le cadre de voyages d'affaires.
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