Et maintenant ?

Alexandre Benalla avant son audition au Sénat à Paris en septembre 2018. © ZIHNIOGLU KAMIL/SIPA
Alexandre Benalla ne se borne pas dans son livre à ressasser le passé. Il y est aussi question de présent et d'avenir. "Aujourd'hui, j'ai ma boîte de conseils et de sécurité au Maroc. Je suis en train de déplacer le siège social en Suisse", lâche-t-il au sujet de son entreprise elle aussi controversée. "Je vis à l'aise, j'ai un contrat au Nigeria, un en Arabie saoudite et un autre au Maroc." Et il croit bon de préciser : "Je me fous de l'argent, je veux juste être heureux, m'amuser. Étonner, m'étonner. Exister, me sentir vivre". Pour la suite, Benalla affirme ne pas vouloir être "Bernard Tapie, qui est […] dans le combat permanent". "Moi, je me fixe un round, c'est tout", assure-t-il confiant au passage qu'il ne souhaite pas le même parcours à son fils. "C'est beaucoup trop d'histoires…"
Alexandre Benalla ne se borne pas dans son livre à ressasser le passé. Il y est aussi question de présent et d'avenir. "Aujourd'hui, j'ai ma boîte de conseils et de sécurité au Maroc. Je suis en train de déplacer le siège social en Suisse", lâche-t-il au sujet de son entreprise elle aussi controversée. "Je vis à l'aise, j'ai un contrat au Nigeria, un en Arabie saoudite et un autre au Maroc." Et il croit bon de préciser : "Je me fous de l'argent, je veux juste être heureux, m'amuser. Étonner, m'étonner. Exister, me sentir vivre". Pour la suite, Benalla affirme ne pas vouloir être "Bernard Tapie, qui est […] dans le combat permanent". "Moi, je me fixe un round, c'est tout", assure-t-il confiant au passage qu'il ne souhaite pas le même parcours à son fils. "C'est beaucoup trop d'histoires…"
© ZIHNIOGLU KAMIL/SIPA